Despite pharmacologic advances, the treatment of schizophrenia remains a challenge, and suboptimal outcomes are still all too frequent. Although treatment goals of response, remission, and recovery have been defined more uniformly, a good “effectiveness” measure mapping onto functional outcomes is still lacking. Moreover, the field has to advance in transferring measurement-based approaches from research to clinical practice. There is an ongoing debate whether, and which, first- or second-generation antipsychotics should be used. However, an individualized treatment approach needs to consider current symptoms, comorbid conditions, past therapeutic response, and adverse effects, as well as patient choice and expectations. Moreover, acute and long-term goals and effects of medication treatment need to be balanced. While the acute response to appropriately dosed first-generation antipsychotics may not differ much from second-generation antipsychotics, advantages of lower rates of extrapyramidal side effects, tardive dyskinesia, and, possibly, relapse may favor second-generation antipsychotics. However, when considering individual adverse effect prof iles, the differentiation into first- and second-generation antipsychotics as unified classes can not be upheld, and a more differentiated view and treatment selection is required. To date, clozapine is the only evidence-based treatment for refractory patients, and the role of antipsychotic polypharmacy and other augmentation strategies remains unclear, at best. To improve the treatment outcomes in schizophrenia, research efforts are needed that elucidate biomarkers of the illness and of treatment response (both therapeutic and adverse effects). Moreover, new treatment options are needed that affect nondopaminergic targets with relevance for symptom reduction, relapse prevention, enhanced efficacy for nonresponders, and reduced key adverse effects.
A pesar de los progresos farmacológicos, el tratamiento de la esquizofrenia todavía constituye un desafío y los resultados insatisfactorios aun son bastante frecuentes. Aunque se han definido más uniformemente los objetivos terapéuticos de respuesta, remisión y récupération, aun falta una buena medición de “efectividad” para delimitar los resultados funcionales. Además, en esta área se tiene que avanzar en la transferencia de enfoques basados en mediciones que vayan desde la investigatión hasta la práctica clínica. Actualmente existe un debate orientado a si deben o no utilizarse antipsicóticos y cuáles de ellos, sean de primera o segunda generación. Sin embargo, un enfoque terapéutico individualizado requière tener en cuenta los síntomas actuales, las condiciones comórbidas, la respuesta terapéutica previa y los efectos adversos, como también la election del patente y sus expectativas. Por otra parte, se deben balancear los objetivos a corto y largo plazo, y los efectos del tratamiento medicamentoso. Aunque la respuesta aguda a dosis apropiadas de antipsicóticos de primera generacíon puede que no difiera mucho de los antipsicóticos de segunda generacíon, las ventajas de menores frecuencias de efectos secundarios extrapiramidales, disquinesia tardfa e incluso recaídas pueden darle ventaja a los antipsicóticos de segunda generation. Sin embargo, cuando se consideran los perfiles de efectos adversos individuales, puede que no sea suficiente la diferenciación entre antipsicóticos de primera y segunda generation como grupos de fármacos, y se requiera de un criterio más diferenciado y de una selection del tratamiento. A la fecha, la clozapina es el único tratamiento basado en la evidencia para los patentes refractarios, y aun no está del todo claro el papel de la polifarmacia antipsicótica y de otras estrategias potenciadoras. Para mejorar los resultados de los tratamientos en la esquizofrenia, se requière de esfuerzos que procedan de la investigation y que permitan identificar biomarcadores de la enfermedad y de la respuesta terapéutica (tanto los efectos deseables como los adversos). Además, se necesitan nuevas opciones terapéuticas que no estén dirigidas hacia los sistemas dopaminérgicos y que influyan en la reduction de los síntomas, la prevention de las recaídas, el aumento de la eficacia en los no respondedores y la reduction de los principales efectos adversos.
Malgré des avancées pharmacologiques, la schizophrénie reste difficile à traiter et des résultats insatisfaisants sont encore trop fréquents. Les cibles thérapeutiques de réponse, rémission et rétablissement ont été définies de façon plus uniforme mais il manque encore une mesure convenable « d'efficacité » basée sur les capacités fonctionnelles des patients. De plus, dans ce domaine, il faut avancer en transférant les approches basées sur les mesures de la recherche à la pratique clinique. Savoir si il faut utiliser des antipsychotiques de 1 re ou de 2 e génération et lesquels, fait toujours l'objet de discussions. Un traitement personnalisé nécessite néanmoins d'envisager les symptômes actuels, la comorbidité, les réponses thérapeutiques antérieures, les effets indésirables ainsi que les choix et les attentes du patient. Il faut en outre mettre en balance les objectifs et les effets des traitements à court et à long termes. Alors qu'une réponse aiguë à des antipsychotiques de 1 re génération correctement dosés peut ne pas différer beaucoup d'une réponse à des antipsychotiques de 2 e génération, les bénéfices d'une fréquence moindre d'effets extrapyramidaux, de dyskinésie tardive et, peut-être, de rechute, font pencher la balance du côté des antipsychotiques de 2 e génération. Cependant, si l'on considère les profils individuels des effets secondaires, la distinction dans les antipsychotiques de 1 re et 2 e générations en tant que classes unifiées, ne tient pas et il est nécessaire d'avoir une vision plus différenciée et une sélection thérapeutique plus fine. À ce jour, la clozapine est le seul traitement ayant apporté ses preuves pour les patients résistants, le rôle d'une polythérapeutique antipsychotique et des autres stratégies d'augmentation restant au mieux obscur. L'amélioration des résultats du traitement dans la schizophrénie passe par des efforts de la recherche pour trouver des biomarqueurs de la maladie et de la réponse au traitement (effets thérapeutiques et effets indésirables). Ajoutons que de nouveaux choix de traitement sont nécessaires en ce qui concerne des cibles non dopaminergiques en tenant compte de la diminution des symptômes, de la prévention des rechutes, de l'augmentation de l'efficacité chez les non-répondeurs et de la diminution des effets indésirables majeurs.