An international symposium on the ‘Social Sciences and AIDS in Africa’, held in Sali Portudal, Senegal, in November 1996, served as an important forum for bringing together English and French speaking researchers and AIDS activists. Jointly organised by Codesria (Council for the Development of Social Science Research in Africa), CNLS (the National Committee for the Prevention of AIDS in Senegal) and Ostrom (The French Institute of Scientific Research for Development and Cooperation), it covered a wide range of topics, with reference to a broad spectrum of individual country experience.
Un congrès international sur lés sciences humaines et le SIDA en Afrique, qui a eu lieu à Sali Portudal au Sénégal en novembre 1996, a servi de tribune importante, réunissant des chercheurs et des militants dans le domaine du SIDA des mondes anglophone et francophone. Organisée conjointement par le Codesria (Institut pour le développement des recherches en sciences humaines en Afrique), le CNLS (Comité Nationale pour la Prévention du SIDA au Sénégal) et I'Ostrom (I Institut Français de Recherche Scientifique sur le Développement et la Coopération), cette réunion a traité d'un éventail etendu de sujets faisant appel aux expériences vécues dans differents pays. Depuis le milieu des années quatre‐vingts, quand on a admis, pour la première fois, la gravité de I'épidémie du SIDA, un certain nombre de conférences, tant internationales que régionales, ont eu lieu afin de comparer les résultats des recherches et de discuter des dispositifs de prévention et de soins. Avec le temps, la dominance initiale exercée par la médecine et le discours médical dans le domaine du VIH/SIDA a diminué. Le défi que nous présente le VIH/SIDA a de multiples facettes et doit être abordé d'une manière pluridisciplinaire. line démarche exclusivement médicale ne peut le trailer qu'imparfaitement. Les possibilités de traitement dépendent des ressources existantes et de la richesse de la société aussi Men que de la richesse de Vindividu. La prévention doit tenir compte du niveau de connaissance et du comportement social, ce qui est rendu plus complexe par les relations entre les sexes et la pauvreté. Bien que Von admette, de plus en plus, que l'épidémie est ancrée dans le tissu social des populations atteintes et qu'elle a des conséquences sociales et politiques aussi bien que médicales, néanmoins, il existe toujours un besoin de faire valoir Vimportance de la recherche dans les sciences humaines sur la propagation, les effets et la prévention contre le VIH/SIDA. La contribution du congrès de Sali Portudal, à cet égard, s'est montrée exemplaire.
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