NEW APPROACH FOR SELECTING BIOLOGICAL CONTROL AGENTS

Abstract

The success of introducing natural enemies for biological control was found to be about 75% higher employing new parasite–host (predator–prey) associations than those based on long-evolved associations between parasites and hosts. The lack of evolved interspecific balance in new species associations appears to explain the higher success rate. New exploiter–victim associations expand opportunities for the biological control of both introduced and native pests and should be used as the preferred method in selecting biological control agents.

Le succès des introductions d'ennemis naturels en lutte biologique s'est révélé être environ 75% plus élevé avec des paires parasite-hôte (prédateur-proie) nouvellement associées plutôt que des paires évoluées d'associés. L'absence d'équilibre interspécifique évolué chez les paires d'espèces nouvellement associées semble expliquer ce succès plus élevé. Les nouvelles associations exploiteur-victime augmentent les possibilités de lutte biologique contre des nuisibles introduits ou indigènes et devraient être privilégiées lors de la sélection d'auxiliaires de lutte biologique.